IRENE GAOUDA DEFEND LES ANIMAUX

C’est avec sa plume Irène Gaouda, journaliste camerounaise a décidé de se lancer dans la défense de la vie des animaux. Pour cela, elle étale son plaidoyer à l’aide de six nouvelles concoctées et regroupées dans « La chèvre de ma grande-mère ». Le livre a été présenté au public le 27 janvier dernier à l’Institut Goethe de Dakar.

Image interactive: Christine Taubira remet le tablier de la justice française

Video: Lionel Zinsou renforce la polémique: "L'afrique est au français"

Cette vidéo renforce les polémiques au tour de la candidature du premier ministre béninois, le franco-béninois Lionel Zinsou. Pour lui, " l'Afrique appartient à la France et à l'Europe et non aux européens". Il y a de quoi de s'inquiéter!

Les structures de l'Ucad présentent leur innovation au Cesti

Les journées d'accueil et d'orientation des nouveaux bacheliers continuent à l'université Cheikh anta Diop de Dakar. Le bureau d'information et d'aide à l'orientation (Biao) avec d'autre structure de l'Ucad ont organisé cet après-midi, une séance d'information à l'endroit des étudiants du Cesti en vue de leur présenter les innovations des services disponibles à l'université.

L'équipe de coordination des journées d'accueil des nouveaux bacheliers a mis le cap sur le Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information, ce 20 janvier 2016. "Nous sommes venus pour vous donner des informations sur ce qui se passe sur à l'Ucad" a annoncé la directrice de la vie universitaire et des services à la communauté (DVUSC).  Au total cinq structures de l'Ucad ont coordonnée la séance. Il s'agit de la BIAO, de la DVUSC, de la DAP, de la DIRCOM, et de la DISI. Tour à tour, elles ont présenté les services innovants de leurs différentes directions. Inscrite dans la dynamique de présentation de vœux de bienvenue aux nouveaux étudiants admis à l'Ucad, cette activité a débuté, le 5 décembre 2015 et prendra fin le 29 février 2016. 

Une carte pour 5ans

Comme innovation à retenir de cette rencontre, il y a la nouvelle carte universitaire. C'est l'une des nouveautés qui caractérise la reprise des cours à l'Ucad. Cette carte est assortie d'un processus informatisé présenté par le représentant de la direction de l'informatique et des systèmes d'information et de communication de l'Ucad. Elle est valable pour cinq années. Contenant une puce, c'est un outil d'identification. Elle allégera la vie des étudiants à l'Ucad à travers diverses utilités. En exemple, cette carte facilitera l'inscription des étudiants à la Bibliothèque universitaire (BU). Loin de la procédure tracassante du passé, les étudiants qui détiennent la nouvelle carte peuvent s'inscrire sur place à la BU.

Communication inéfficace

"La page Facebook de l'Ucad est créée depuis un an mais il n'y a que 5577 jaime". C'est avec cette phrase que Seydina Aba Gueye, le président de l'Amicale des étudiants du Cesti s'est indigné de l'état défectueux de la communication dans l'Ucad. Dans un univers où les médias sociaux jouent un rôle capital, la capacité des structures de l'Ucad à communiquer et informer les étudiants par les réseaux sociaux est véritablement minime. En effet, il y a un manque d'information notoire que regrette l'ensemble des étudiants présents dans la salle. Et pour corriger le tir, c'est à Mme Keita membre de la direction de communication du Rectorat de l'Ucad de miser sur les compétences du Cesti. En tant qu'institut d'excellence de formation en journalisme classique et en web journalisme, le Cesti est appelé à jouer un rôle majeur dans ce sens. "On va s'appesantit sur le Cesti pour combler ce déficit" a t-elle affirmé.

Les questions relatives à la bourse des étudiants inscrits au Cesti, l'impossible double inscription à l'Ucad entre autres sont des sujets qui ont alimenté le débat. Cette séance d'information à l'endroit des étudiants s'est campée dans le décor de la première édition du carrefour d'actualité de 2016.

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Tchernobyl, Fukushima, ou la prison de Guatanamo entre autres, les lieux où il est impossible de visiter sont plus nombreux qu'on y pense. Voici en images, une immersion sur leur espace avec une édition de l'émission Géopolitis.

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Vidéo: Quand l'énergie des joueurs éclaire le terrain

En décembre dernier, le premier terrain éclairé par les joueurs est inauguré à Lagos (Nigéria).  Le mécanisme de cette technologie utilise l'énergie produite par les joueurs en mouvement sur le terrain pour produire de l'électricité servant à éclairer l'enceinte du terrain.

Suivez la vidéo (Anglais)

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Les technologies de l'information et de la communication sont en plein essor sur le continent africain. Leur importance n'est plus à démontré.

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De Kaolack (Sénégal) à New York (USA), son chemin fut tordu mais il est arrivé à se faire un nom .

François Bugingo, un sérial bidonneur

François Bugingo en tenue d'astronaute

Le souci primaire d’un journaliste est la vérité. D’ailleurs c’est «  l’absolu qu’il doit toujours rechercher avec une démarche rigoureuse dans sa mise en œuvre » affirme Dénis Jeambar, journaliste et écrivain français. 

Des phrases de genre existent à profusion. Elles prouvent ce principe, étendard idéologique des écoles de formation en journalisme, qui parait bien boycotté par ceux-ci ou du moins certains parmi eux, même les plus insoupçonnables. Démasqués par les leurs ou des organisations tiers, ils plaident coupables et se justifient avec des vrais ou parfois faux arguments.

Tout ceci laisse une lourde conséquence dans leur milieu de travail et détériore l’image de pourvoyeur de la vérité qui leur est à tort et à travers attribué. Par conséquent, l’ambiance qui les succède se trouve rythmée par des démissions et réaménagement organique. En substance, c’est ce que ressortent les deux textes en présence avec preuves irréfutables à la main (les affaires Jayson Blair, Kelly, Valerie Plame, François Bugingo, …)

En s’inspirant surement de « Serial Killers » qui signifie « tueurs en séries », « Serial bidonneurs » comme titre est un néologisme. Il montre avec beaucoup de pertinence, le côté récidiviste de ces journalistes « faussaires compulsifs », qui « affabulent », et « romancent la réalité» avec des articles « inventés de toutes pièces ». Le texte atteste l’usage du bidonnage dans certains médias occidentaux (New York Times, Times, CBS, …) où des productions de « Serial bidonneurs » avaient bénéficié de primauté sur les autres grâce à leur aspect hors commun qui émeut le public et vise à satisfaire le désir de vendre des organes. De plus, il y a le contexte politico-social et les desiderata des gouvernements (Invasion de l’Irak par les Usa et l’Angleterre) qui ont favorisé cet état de chose.

A travers l’enquête de Isabelle Hachey, on découvre l’exemple le plus récent de mise à nu d’un de ces journalistes. Il s’agit de François Bugingo. Canadien d’origine rwandaise, il est le prototype exact d’un « Serial Bidonneur ». C’est un grand affabulateur qui a animé pendant des années la vie médiatique québécoise (Radio-Canada, TVA, Télé-Québec, Le devoir, Journal de Montréal, 98,5 fm) avec des reportages provenus directement de ces imaginations. Après différentes vérifications, la lumière est faite sur ces bidonnages. Ce qui l’amène à passer aux aveux. Toutefois, sa repentance n’est pas exempte d’incertitudes car il demeure un personnage énigmatique.